dimanche 29 juin 2014

commandes par labView


Maxim: applis simples et échantillons gratuits
NI exemple générateurs de signaux
NI commande moteur pas à pas

Introduction au variateur de vitesse

position relative UE et Splits

Schema détecteur IR gauche droite 38kHz
variateur de vitesse: moteur à pôles fixes (2 enroults séparés) et câblage avec API bien
variateur de vitesse: moteur à pôles commutables (Dalhander) et câblage API bien
 maintenant on ne change plus p = nbre paire de pôle pour faire varier n = f/p mais f par variateur de vitesse
variateur de vitesse pour remplacer les 2 principes précédents
pour inverser: on alimente qu'une seule bobine -> champ fixe qui bloque (borne freinage commutable par l'API) consigne = potar de 0 à 10V ou 4-20mA. Explique aussi choix du variateur. Vitesse proportionnelle à consigne analogique ou préréglées. Inversion du sens de marche par inversion pont à transistour au lieu de par contacteur comme précédemment.
schéma va et vient du schéma au câblage et comparaison avec télérupteur
(aller au bout de la vidéo pour voir des autres schémas de bases en électricité)








vendredi 13 juin 2014

Economie de carburant en équipant son véhicule en kit "moteur à eau"

De l'eau c'est de l'oxygène combiné à de l'hydrogène mais si il est relativement simple de transformer de l'eau en vapeur d'eau il est plus compliqué d'en extraire hydrogène et oxygène. Pourtant c'est le principe de vie des plantes et algues (photosynthèse):
les méthodes de production de l'hydrogène
les voitures à hydrogène existantes
produire de l'hydrogène à partir du soleil
atomes et rayonnement par le scientifique Jean Dalibard    Ce monsieur explique clairement des choses très complexe en les comparant à des objets du quotidien!  Même si on ne comprend pas tout, ce que l'on retient donne envie d'aller plus loin!

POUR LES BRICOLEURS:
une boutique autour des économies d'énergie
dopage des moteurs à l'eau pour économiser du carburant
adjoindre à son véhicule le kit HHO
convertir son moteur véhicule "moteur à eau"
équipement élecrolyse sur moteur à injection

LES GAZ  R410a et tous les autres:
toutes les lois et formules des gaz 
extraits:
........ Halons HFC (Hydrofluorocarbones)  HxFyClz    dont les gaz réfrigérants R134A, R407C, R410A .

syntaxe:
-un liquide devient gaz = Vaporisation
(une vaporisation rapide est dite ébullition et une vaporation lente est dite évaporation)
-un solide devient gaz = Sublimation
-un gaz devient liquide = Liquéfaction
-un gaz devient solide = Condensation solide
-un gaz composé est constitué de plusieurs composants à atomes distincts, chimiquement liés. Il est polyatomique- (Exemples  H²O, NH3, CO.....)
-un mélange de gaz est une association physique de plusieurs gaz, mais il n'y a pas liaison atomique (air, par exemple)
Nota: un gaz est dit simple si ses constituants élémentaires n’ont pas -ou peu- de moment dipolaire électrique.(Ex: CO, H², N², O²...)



 


Calculs clim, convertisseur mesures

convertisseurs d'une unité à une autre
calculs besoins en clim

mercredi 11 juin 2014

L'eau dans tout ses états

Extraits de sites ou de forums pour expliquer l'eau:
L'eau a 3 états physiques: solide, liquide et gazeux. on passe d'un état à l'autre en fonction de la chaleur (en langage scientifique, en fonction de l'énergie)

la différence entre ces trois états est : la distance qui sépare les molécules.
A l'état solide, les molécules (toujours H2O) sont fixes les unes par rapport au autres. l'état solide: la neige, la glace, la grêle.
A l'état liquide (le plus connu pour l'eau) les molécules (toujours H2O) se touchent mais ont une certaine liberté. elles peuvent glisser les unes par rapport au autres. (C'est pourquoi l'eau rempli toute la bassine alors que la glace non)
a l'état gazeux, les molécules (toujours H2O) ne se touchent plus : vapeur d'eau, nuage, etc. 

autre forum:
Un liquide est constitué de "molécules" en contact les unes avec les autres, qui se déplacent et "glissent" en permanence les unes sur les autres. Le gaz d'évaporation ou vapeur d'eau est constitué des mêmes molécules, mais beaucoup plus agitées et très éloignées les unes des autres.
  • L'eau liquide n'est-elle que liquide ? L'eau est liquide lorsque sa température est comprise entre 0 et 100 degrés à la pression d'une atmosphère. Les molécules de ce liquide (les petits grains qui le constituent) sont en perpétuel mouvement et en contact permanent. Les interactions entre elles se font et se défont à raison de milliards de fois par seconde.
    Ces molécules n'ont pas toutes la même énergie (certaines sont lentes, d'autres rapides, qu'il s'agisse de mouvements de déplacement, de rotation ou de vibration) mais leur énergie moyenne est proportionnelle à la température du liquide, ce qui se conçoit assez facilement.
    Certaines molécules d'eau ont suffisamment d'énergie pour s'échapper de la surface du liquide : cela se traduit par la présence d'une certaine quantité de molécules d'eau sous forme de gaz au dessus de la surface de l'eau.
    La pression totale au dessus du liquide est toujours de 1 bar ; il y a simplement moins de molécules d'air car les molécules d'eau les "poussent" en s'échappant du liquide. Il est possible de faire une analogie avec une foule de danseurs blancs bien répartis sur une piste immense (les molécules d'air). Délimitant la piste, un mur, le long duquel sont assis d'autres danseurs bleus (les molécules d'eau liquide). Si parmi ces danseurs, les plus impatients se lèvent pour se défouler, ils se vont se mélanger progressivement aux autres qui vont s'écarter pour leur laisser de la place.
    L'équilibre (entre les molécules d'eau liquides et celles qui constituent le gaz au dessus de la surface) est maintenu par le fait que si certaines molécules d'eau continuent à s'échapper du liquide, d'autres retombent dedans.
    Il s'échappe d'autant plus de molécules du liquide que la température est élevée. Dans ce cas, il y en a d'autant plus au dessus de l'eau et il en retombe également d'autant plus par unité de temps : l'équilibre existe toujours mais il a été "déplacé", l'air au-dessus du liquide est simplement plus "humide".
  • Pourquoi alors l'eau liquide du linge et des flaques d'eau s'évapore-t-elle quand même, pour finir par disparaître ? S'il y a du vent et qu'il arrive d'une région de moindre humidité, il déplace ces molécules gazeuses qui se sont échappées du liquide. Celles-ci sont immédiatement remplacées par d'autres, celles qui continuent à s'échapper du liquide parce qu'elles ont l'énergie suffisante, mais sans qu'il n'en retombe dedans puisque le vent est sec.
    Première conséquence : l'eau peut s'évaporer progressivement, sans pour autant bouillir.
    C'est le premier principe du sèche-cheveux, qui souffle de l'air sec et entraîne l'humidité de l'air qui entoure les cheveux, jusqu'à ce qu'ils soient secs. Attention : pour une efficacité optimale du sèche-cheveux, il faut que l'air qu'il souffle soit bien sec ; ne pas oublier, donc, d'ouvrir la porte de la salle de bains durant l'opération !
    Seconde conséquence : l'eau, privée de ses molécules les plus rapides, voit sa température diminuer.
    C'est pour cette raison qu'on a froid en sortant de l'eau, que l'on souffle sur la soupe pour la refroidir, que les bédouins utilisent des outres en peau de chèvre à travers laquelle l'eau peut suinter, s'évaporer et donc refroidir l'intérieur, etc.
  • Que se passe-t-il à présent si l'on chauffe cette eau ? A présent, on chauffe l'eau. La quantité de molécules qui s'échappent du liquide augmente, et avec elle la proportion d'eau dans l'air, ainsi que le nombre qui retombe dedans par unité de temps.
    En cas de vent, l'eau s'évapore donc plus vite, ce que l'on observe facilement expérimentalement.
    C'est le second principe du sèche-cheveux : la chaleur apportée par l'air chaud permet de réchauffer l'eau qui sans quoi, privée de ses molécules les plus rapides, aura tendance à se refroidir et donc à s'évaporer moins facilement. Ainsi le système de chauffage du sèche cheveux ne sert pas à faire évaporer l'eau, mais à compenser la perte d'énergie qu'elle subit lorsqu'elle s'évapore sous l'effet du courant d'air. On choisira donc un sèche-cheveux qui souffle fort et chauffe modérément.
  • Mais alors, qu'est-ce que "bouillir" ? Tout d'un coup, l'eau vapeur est présente au dessus du liquide à la pression de 1 bar ; tout l'air a été remplacé par de l'eau. En d'autres termes, tous les danseurs qui s'agitent le long du mur sont bleus, ils ont repoussé les autres car ils sont à présent très nombreux à l'être levés.
    Chauffons encore un peu l'eau : il s'échappe encore un peu plus de molécules du liquide et la pression au dessus de lui tend à dépasser 1 bar.
    Or cela est impossible : s'il y a plus d'1 bar de pression au dessus de l'eau, il en résulte un mouvement de déplacement de la masse gazeuse vers des zones de plus faible pression ; cette fois, l'eau s'échappe réellement du liquide et s'en éloigne. Autrement dit, les danseurs bleus occupent tout l'espace le long du mur mais avec une densité supérieure à celle des danseurs blancs, au loin là-bas où il n'y a pas de danseurs bleus. Non seulement ils les repoussent, mais ils s'éloignent eux-mêmes du mur, poussés par d'autres danseurs bleus qui se lèvent à leur tour.
    Bien sûr, cette pression qu'exercent les molécules d'eau qui s'échappent peut prendre naissance à l'intérieur du liquide : on parle alors d'ébullition
    L'eau bout...
  • Et après la première bulle ? Lorsque ces molécules s'échappent, comme auparavant, elles emmènent avec elles de l'énergie du liquide qui par suite, se refroidit. Alors ?
    Si de l'eau à sa température d'ébullition est chauffée un tout petit peu, il s'en évapore quelques molécules qui emportent l'excès d'énergie ainsi fourni. C'est la réponse à la question subsidiaire : l'eau bout à température constante.
  • liens utiles

    voir rapidement ce qu'est un produit mais ATTENTION :
    ne rien télécharger au risque d'introduire un malware (logiciel malveillant)  difficile à désinstaller (vous pensez télécharger la notice et c'est un .exe, c'est à dire un exécutable en provenance de LiveSoftAction non fiable qui est téléchargé). Toujours vérifier la provenance d'un fichier avant de l'installer!
    !!!BEWARE!!!! :  quickly see what a product but do not download anything to the risk of introducing malware difficult to uninstall (you do download the leaflet and it is an exe., ie an executable from LiveSoftAction unreliable that is downloaded). Always check the source of a file before you install it!


    lundi 9 juin 2014

    Au niveau des molécules

    bases de chimie
    qu'est-ce qu'une molécule?
    modélisation moles et molécules
    dimensions, attraction, réactions
    http://slideplayer.fr/slide/1144321/

    http://educ47.ac-bordeaux.fr/sciences/fiches/faq-ma-em.pdf


    Dégazage (Outgassing) ou vaporisation (Flashing) – quelle différence ?
    Alors que les processus de dégazage et de vaporisation semblent présenter de nombreuses similitudes pour la
    plupart des ingénieurs des procédés, leur force motrice et leurs effets sur une vanne de réglage sont sensiblement
    différents. Il convient de parler de vaporisation lorsque la pression d’un fluide descend en-dessous de sa pression
    d’évaporation (ou tension de vapeur). À ce moment, le fluide passe à l’état gazeux tout en conservant la même
    composition chimique. La pression d’évaporation varie en fonction de la température du fluide et, en conséquence,
    la vaporisation varie en fonction de la pression et de la température de ce fluide. Pour que le fluide se vaporise, le
    transfert thermique doit s’effectuer à partir du liquide au cours du processus et cela demande du temps.
    Le dégazage engendre également un mélange liquide-gaz, mais sa force motrice est exclusivement due au fait
    que la pression du fluide est descendue en-dessous de la pression de saturation d’un gaz dissous dans un liquide.
    Une fois que la pression du fluide est descendue en-dessous du seuil de saturation, le gaz s’échappe de la solution et
    présente une composition chimique différente de celle du liquide. La meilleure illustration du phénomène de
    dégazage est celui d’une bouteille de champagne que l’on ouvre. Immédiatement, la pression à l’intérieur de la
    bouteille retombe au niveau de la pression atmosphérique qui est inférieure à la pression de saturation du dioxyde de
    carbone dissous. Le même phénomène se retrouve dans l’utilisation des vannes de régulation. La vaporisation d’un
    fluide ayant atteint le transfert thermique requis prend un certain temps alors que le phénomène de dégazage
    ne requiert aucun transfert thermique et survient donc beaucoup plus rapidement. En aval de la vanne, les deux
    phénomènes peuvent paraître similaires, mais à hauteur du point d’étranglement (ou de réglage), la différence peut être
    importante et dramatique pour le bon fonctionnement de la vanne et de la boucle de régulation.
    La vaporisation est un phénomène correctement appréhendé et le dimensionnent des vannes de régulation pour ces
    applications est déterminé à partir calculs s’appliquant à des liquides standards. Le dégazage qui peut survenir
    lorsque sont associés liquide et gaz, ne suit pas une courbe thermodynamique spécifique et des dimensionnements et
    calculs spécifiques des vannes de régulation sont requis pour le traiter. De même, les types de pièces internes (trim) et des
    technologies de vanne ainsi que les matériaux sélectionnés pour les applications de vaporisation peuvent ne pas être
    adaptés à des applications de dégazage. De ce fait, comment savoir si les problèmes de votre application sont dues à de
    la vaporisation ou du dégazage ? Deux indicateurs sont les masses moléculaires du liquide et du gaz provenant de la
    vanne et la vanne est équipée d’un régulateur de niveau de liquide permettant de lancer un procédé de séparation des
    phases.

    outils pour frigoriste

    forum du site des frigoristes
    réparateur compresseurs: présence liquide ou manque d'huile!

    Autour de l'eau

    les différents états de la vapeur
    la molécule d'eau
    eau
    ionisation de l'eau par "aquasanté"
    bienfaits supposés de l'eau alcaline
    mélange eau-huile à travers la mayonnaise
    émulsion eau huile
    polarité des molécules

    fluides non Newtoniens

    Liaisons atomique, gaz, réfigérants

    De nombreux atomes sont retenus les uns aux autres par des liaisons mixtes qui combinent plusieurs sortes de liaisons  élémentaires.



    Empilement des atomes
    La façon dont les atomes sont empilés est une donnée importante pour déterminer les propriétés mécaniques des matériaux. 
    Les cristaux les plus simples peuvent être modélisés en assimilant les atomes à des sphères dures. Il s’agit là cependant d’une approximation. En simplifiant encore plus un corps pur avec une seule taille de sphères dures aux liaisons non directives aura tendance à s’organiser en une structure compacte où les sphères sont rangées sans contrainte autre que géométrique. Le Cuivre est un bon exemple de matériau répondant à ces conditions. Les caractéristiques principales de l’empilement atomique s’expriment au travers de la masse volumique du matériau qui est l’expression de la masse et du diamètre des atomes constituants, mais aussi de la densité de l’empilement dans le cristal. La plupart des métaux ont de fortes densités parce que leurs atomes sont lourds et empilés de façon compacte.

    Gaz:
    En pratique, les gaz ne se comportent pas exactement comme le décrit la loi des gaz parfaits, car ils sont composés de molécules ayant un certain volume. La loi des gaz parfaits ignore le fait que les molécules possèdent un volume propre; le volume d'un gaz réel est donc supérieur au volume d'un gaz idéal (Vidéal < Vréel). En outre, des interactions autres que les simples chocs élastiques du modèle des gaz parfaits existent entre les molécules. Les forces attractives entre les molécules font que la pression d'un gaz réel est inférieure à la pression d'un gaz idéal, en particulier pour les hautes pressions (préel < pidéal).
    Les gaz idéaux ne peuvent, de plus, devenir liquides ou solides, indépendamment de la pression ou de la température. Il est donc nécessaire d'ajuster la loi des gaz parfaits pour décrire le comportement des gaz réels. L'équation de van der Waals s'obtient, contrairement à l'équation des gaz parfaits, à partir d'un modèle de gaz composé de sphères dures soumises à des interactions dipôlaires attractives appelées forces de van der Waals.


  • Conséquences des forces de Van der Waals
    • Energie de cohésion dans solides moléculaires
    solide energie de cohésion en kJ/mol température de fusion en K
    neon 2.5 24
    argon 8.5 84
    krypton 12 117
    xenon 16 161
    dihydrogène 1 14
    dioxygène 8.6 54
    dichlore 31 172

    Spécificité de l'eau

    Propriétés physiques de la glace ordinaire (Ih)

    La masse volumique de la glace est de 917 kg/m³ à °C, et son coefficient de dilatation linéaire est d'environ 9·10− 5/K, toujours à °C.
    Une des particularités de la glace est de présenter une masse volumique plus faible que celle de l'eau liquide qui est d'environ 1 000 kg/m³ à °C et sous la pression atmosphérique. La glace flotte donc à la surface de l'eau liquide, phénomène inhabituel car pour la plupart des matériaux, c'est le phénomène inverse qui se produit.

    Propriétés mécaniques

    Le coefficient de dilatation linéaire de la glace est environ 9·10− 5/K à °C. La compressibilité de la glace est de l'ordre de 12·10− 12/Pa.
    La limite d'élasticité de la glace varie énormément suivant la qualité de la glace utilisée : 10 kPa pour la glace de glacier, 60 kPa pour de la glace artificielle.
    Les valeurs admises pour le module d'Young de la glace se situent environ à 9,33 GPa.
    Sa limite de plasticité est de 3,5 MPa (en compression). Le rapport limite de plasticité / limite d'élasticité de la glace, de 60 à 350, se range parmi les plus grands de tous les solides connus (environ 2 pour l'acier, et jusqu'à 10 pour le fer doux).
    Une formule empirique permet de déterminer la pression supportable par une couche de glace ; si l'on considère H l'épaisseur de glace en centimètres, alors 4·H² donnera le nombre de kg par m² que la couche pourra supporter sans se briser.

    dimanche 1 juin 2014

    Les essentiels

    assemblage des pièces d'un split pas à pas

    valve d'expension thermostatique

    compresseur frigo
    100°C  8 bars  ->   55°C  8 bars   ->  45°C  8 bars  ->  -23 0,6 bars  ->  25°C 0,6 bars    
    compresseur contrôlé par température


    Réfrigérateur solaire

    Un tel réfrigérateur repose sur le fonctionnement du réfrigérateur à absorption mais utilise le Soleil comme générateur. Il est intéressant car il n'utilise que le Soleil comme source d'énergie, ce qui fait de lui un réfrigérateur idéal pour le tiers monde, même si des modèles pour les pays développés sont en cours de développement par l'entreprise Solaref11.

    le frigo en 2mn

    principe
    frigo "maison" montrant chaque détail

    pot réfrigérant au Soudan   85 à 52 F  

    air conditionné au japon

    animation principe air conditionné expressif et rapide

    construire son panneau solaire pour chauffer eau

    solaire 2 compartiments b

    solarstubs.com

    jenesaisplus

    travail compresseur

    Sublimation d’un solide (cas du CO2)

    La sublimation d’un solide consiste à le faire passer de l’état solide à l’état vapeur par
    absorption de chaleur, le cas le plus courant est celui du CO2 qui à la pression
    atmosphérique a une température de sublimation de –78.9°C.

    La détente d’un gaz comprimé repose sur le principe de l’abaissement de la température
    d’un fluide lors de sa détente (avec ou sans travail extérieur). Cependant, cet abaissement
    est plus important lors de la détente sans travail extérieur (détente Joule -Thomson :
    étranglement à travers une vanne) mais il ne faut pas perdre de vue que le refroidissement
    du gaz détendu aura lieu seulement dans le cas où sa température avant la détente serait
    inférieure à la température d’inversion de l’effet Joule - Thomson.
    La fusion d’un corps solide se fait à température constante par absorption de la chaleur
    latente de fusion du corps considéré, ce procédé discontinu bien que simple présente
    l’inconvénient de nécessiter une congélation préalable à moins que cet état ne soit
    disponible à l’état naturel.
    Le refroidissement thermoélectrique (effet Peltier) est utilisé pour produire de très petites
    quantités de froid. Il consiste à faire passer un courant continu dans un thermocouple
    constitué de conducteurs de natures différentes reliés alternativement par des ponts de
    cuivre.
    La dissolution d’un sel dans l’eau provoque un abaissement de la température de la solution.
    Ce n’et pas un phénomène très utilisé dans l’industrie frigorifique à cause de la nécessité de
    vaporisation ultérieure de l’eau (récupération du sel). Par exemple, le mélange de neige (4
    parties) et de potasse (3 parties) fait baisser la température de la solution de 0°C à 40°C.
    La désaimantation adiabatique consiste en une réorganisation du cortège électronique d’un
    corps, ce qui permet l’obtention de très basses températures (10-2 à 10-6 K).
    La vaporisation d’un liquide permet de produire du froid par l’absorption de la chaleur à
    travers un échangeur (évaporateur), la vapeur produite étant ultérieurement liquéfiée dans un
    10
    autre échangeur (condenseur), le fluide décrit ainsi un cycle au sein d’une machine
    fonctionnant de manière continue.
    Les machines utilisant ce principe peuvent être regroupées en deux grandes familles que sont
    les machines à compression mécanique et les machines à absorption.
    La vaporisation d’un liquide en circuit fermé reste la méthode la plus utilisée pour la
    production du froid.
    La production de froid pour les besoins domestiques, commerciaux et industriels nécessitent
    l’utilisation d’un dispositif capable d’extraire de la chaleur dans le milieu à refroidir pour la
    rejeter dans un milieu dit extérieur, ce dispositif qui obéit nécessairement au second principe
    de la thermodynamique est appelé « machine frigorifique ».
    La conception, la réalisation et l’exploitation et/ou le suivi d’une telle machine nécessitent de
    bonnes connaissances en thermodynamique, en mécanique des fluides, en transfert
    thermique et en électrotechnique.
    Ces connaissances théoriques devront être complétées par une bonne familiarisation à la
    technologie des composants ainsi qu’à l’élaboration et à la lecture de schémas électriques
    ou de régulation.
    Dans le cadre de ce cours, il sera étudié les machines utilisant la vaporisation d’un fluide en
    circuit fermé.
    Le froid peut être produit directement ou indirectement.
    On parle de refroidissement direct lorsque la substance à refroidir (par exemple l’air) est en
    contact avec le fluide circulant en circuit fermé dans la machine (par l’intermédiaire de
    l’échangeur).
    Le refroidissement est dit indirect lorsqu’on utilise un fluide intermédiaire (par exemple l’eau)
    entre la substance à refroidir (l’air) et le fluide circulant en circuit fermé dans la machine. Le
    fluide intermédiaire est appelé fluide frigoporteur.
    Le tableau ci-dessous fait un point des différentes applications du froid.


    Conversion entre les différentes unités de températures
    °C = 5/9 (°F - 32)             °F = 9/5 C + 32           °K = °C + 273
    donc 0°C = 273°K    20°C = 293°K
    dans un frigo entre +3 et +4.
    dans le congélateur supérieur à -20.


    la détente d’un gaz comprimé
    la fusion d’un corps solide
    le refroidissement thermoélectrique
    la dissolution de certains sels
    la désaimantation adiabatique
    la vaporisation d’un liquide en circuit fermé